Chef(s) de projet: Vincent DeGennaro
Haïti manque de moyens suffisants pour dépister le cancer du col de l’utérus chez les femmes en âge de procréer, la principale cause de décès par cancer chez les femmes. Il a également été démontré que la classe ouvrière à Haïti, comme les employées d’usine, est celle qui a le moins accès aux programmes de santé et d’éducation.
Dans ce projet, des employées d’usine vont procéder à un auto-dépistage du virus du papillome humain (VPH), suivi d’un traitement, au besoin, la semaine suivante par des infirmières de l’infirmerie de l’usine. Le modèle permettra d’éduquer les femmes sur le cancer du col utérin et de leur donner accès au dépistage directement sur le lieu de travail.
Le modèle favorise la durabilité, parce que le secteur privé soutient le dépistage de la maladie au sein du personnel et la formation des infirmières, et il devrait hausser la demande de services de dépistage. Parmi les autres avantages attendus, il y a la possibilité d’offrir une éducation adéquate aux patientes dans un cadre communautaire, aucune perte de suivi et une utilisation accrue des services.